« Je suis Romain Grandjean, un non-champion de l’orthographe ! J’ai transformé cette faiblesse en force en mettant au point une méthode adaptée à ceux pour qui l’orthographe semble une montagne infranchissable. »
Mon histoire orthographique
Si je souhaite partager avec vous l’histoire de ma scolarité puis de mon parcours professionnel, c’est parce qu’elle ressemble peut-être à la vôtre.
J’ai conscience qu’avoir des lacunes en orthographe peut être un véritable handicap.
Les fautes d’orthographe peuvent ralentir notre carrière professionnelle ou peuvent limiter l’accès à des études supérieures.
Elles peuvent aussi nous faire vivre des situations stressantes ou désagréables.
Si vous vous retrouvez dans le texte qui va suivre ne serait-ce qu’un petit peu (car nous avons tous des parcours différents) je pense que vous êtes au bon endroit pour gagner en confiance dans votre vie personnelle et professionnelle en vous améliorant considérablement dans vos écrits et en supprimant un maximum de fautes d’orthographe.
En 2016, je me suis donné comme défi de supprimer définitivement le plus grand nombre de fautes d’orthographe et de m’améliorer dans mes écrits.
Voici mon parcours, qui n’a pas toujours été très simple !
Mon parcours scolaire
J’ai toujours fait beaucoup de fautes d’orthographe.
Il est vrai qu’enfant, j’avais d’autres passions que la lecture et les devoirs de français. J’étais plutôt du genre à bricoler dans le garage de papa ou à jouer au meccano dans ma chambre.
Pourtant, j’aurais pu être passionné par l’écriture et je me souviens même avoir participé à un concours de rédaction ou il fallait imaginer une courte nouvelle et pour lequel j’avais été sélectionné et j’avais même reçu un prix.
Ce qui me plaisait dans l’écriture, c’était la création d’une histoire, le travail avec l’imagination, mais pas les règles d’orthographe et de grammaire.
Ce que je n’appréciais pas, c’étaient les méthode d’apprentissage proposées par l’Education Nationale et les nombreuses écoles que j’ai fréquentées.
J’avais une incapacité impressionnante à me concentrer devant un cours magistral. Si je restais attentif cinq minutes, j’étais dans mes meilleures journées !
Cette manière d’être à l’école m’a couté très cher pour la suite de ma vie personnelle et professionnelle.
J’ai appris très peu de choses à l’école dans les matières principales et particulièrement en français.
Mon parcours scolaire de l’école maternelle jusqu’aux portes du lycée affiche une belle courbe décroissante.
Mes notes n’ont fait que chuter d’année en année. Je suis passé d’une moyenne générale de 15/20 en sixième à 5/20 en fin de collège.
Naturellement, je me suis découragé et j’ai perdu énormément de confiance en moi, car je ne me sentais pas à ma place et je remettais en cause mes capacités intellectuelles. À force d’échec, c’était assez logique.
Rien n’y faisait, j’avais beau essayer de faire des efforts pour me concentrer, le naturel revenait au galop, je n’écoutais plus et je n’apprenais pratiquement rien. La qualité de mes écrits se dégradait et je faisais beaucoup de fautes d’orthographe.
À tel point que je n’ai même pas réussi à obtenir le brevet des collèges. C’est pour dire !
Il est temps d’ajouter un peu d’autodérision à ce triste récit en vous présentant quelques chiffres représentatifs. Certains sont tout simplement stratosphériques !
Mon carnet de correspondance de 5ème
Retranscription du texte de l’appréciation : Baisse inquiétante en Français. Résultats intéressants en Math et H.G mais plus médiocres ailleurs (Anglais, SVT, EPS). Romain doit travailler avec plus d’ardeur ses points faibles.
Avec la finesse psychologique de cette appréciation, je suis moins surpris par le déclin croissant de ma motivation que j’ai vécu dans mes années de collèges 😉
Mon parcours scolaire, la suite...
Je n’ai vu que la porte du lycée, sans jamais pouvoir y rentrer. Laissant mes amis pour de nouvelles aventures au sein des établissements des laissés-pour-compte.
Mon bulletin scolaire ne me permettait pas d’accéder à la « normalité. »
Je suis passé par la voie de rattrapage. Le fameux BEP, tant redouté.
Comme disait le célèbre Coluche, j’étais en quelque sorte « un repris de justesse. » 😉 La dernière chance. La dernière main tendue.
En BEP, après avoir changé trois fois d’école pour en trouver une un minimum correcte et ne pas risquer ma vie à chaque récréation, j’ai repris confiance sur mes compétences intellectuelles grâce à une approche beaucoup plus pragmatique.
Je me suis prouvé que j’étais capable de réaliser des choses complexes en utilisant mes mains et mon cerveau.
Mais encore une fois, ce n’est pas en BEP que j’ai amélioré mon français. Les cours ressemblaient au reste de mon parcours scolaire, à savoir, la formule magistrale. On écoute, on se tait et on ne retient rien.
Il faut dire aussi que ce n’était pas l’axe principal d’étude pour une filière technique.
En BAC professionnel et jusqu’à la licence, j’ai repris un peu plus de confiance, mais encore une fois grâce à la pratique et aux sciences.
Le français n’est pas mis sur un piédestal dans ce type d’études.
On ne vous challenge pas vraiment avec cette matière. L’objectif est d’apprendre un métier, pas de devenir journaliste et d’avoir une belle écriture et sans-faute.
Ce qui est intéressant de retenir de cette deuxième partie de ma scolarité, c’est que j’ai repris confiance par des expériences réelles et non théoriques. J’en parle plus longuement dans cet article.
Lorsque nous sommes enfant, nous ne prenons pas en compte l’importance du savoir bien écrire. On peut nous le rappeler chaque jour, mais lorsque les méthodes ne nous correspondent pas, c’est peine perdue. L’information rentre par une oreille et ressort aussitôt.
MON PARCOURS PROFESSIONNEL, LE DÉBUT DU HANDICAP
Fin des études et à peu près remis sur les rails.
Un métier en poche, j’ai pu trouver mon premier emploi.
C’est à ce moment là que j’ai pu commencer à me rendre compte du véritable handicap des fautes d’orthographe et du savoir écrire.
Les emails sont mes premiers souvenirs de stress intense.
Surtout ceux adressés à mes manageurs, à mes clients ou mes fournisseurs.
Lorsque j’y repense, c’était vraiment ridicule de ne pas avoir agi avant. C’était comme avoir un boulet au pied.
Bien sûr, j’ai appris à ruser en utilisant toujours les mêmes formules dans mes emails, en limitant au maximum les explications par écrits et en passant par le téléphone pour transmettre mes messages.
Comme tout type de handicap, on apprend à vivre avec.
Mais celui-ci, on peut le supprimer de notre vie, s’en libérer.
C’est la bonne nouvelle.
Cela ne m’a pas empêché de devenir par la suite formateur en entreprise, consultant avant-vente puis ingénieur commercial, mais toujours en pratiquant les mêmes ruses et en sous-traitant à ma famille ou à des prestataires les corrections de mes écrits.
Que de temps perdu et d’argents gaspillés.
POURQUOI CE PROJET ? L’ENVIE D’UNE VIE PLUS SIMPLE. L’ENVIE DE PLUS DE CONFIANCE EN SOI. L’ENVIE DE LIBÉRER SA CARRIÈRE OU SES PROJETS.
J’ai mis du temps à avoir le fameux déclic qui m’a poussé à agir.
Celui qui m’a incité à me dire que je devais être capable d’écrire sans faute d’orthographe.
Ce moment est arrivé le jour où je suis devenu papa.
Je me suis projeté et j’ai imaginé le temps où mes enfants auraient l’âge d’aller au CP.
Je n’imaginais pas être incapable de les aider à apprendre. Je devais me libérer de cette épine et me sentir plus libre et en capacité d’aider mes enfants. C’était mon devoir.
Je me suis mis alors à la recherche de solutions.
J’ai testé plusieurs plateformes en ligne.
J’ai fait des révisions seul avec des livres.
J’ai demandé conseil à mes proches.
Mais rien n’y faisait.
Rien ne s’imprégnait dans ma mémoire et j’éprouvais de plus en plus de frustration.
Les plateformes en ligne d’apprentissage de l’orthographe étaient trop dépersonnalisées et j’avais le sentiment de retourner à l’école et de pratiquer le rabâchage.
Mes révisions en autodidacte étaient peu productives et je ne savais pas où aller ni comment y aller.
Les conseils que je demandais à mes proches leur semblaient tellement basiques pour eux que je me sentais encore moins intelligent.
J’ai alors décidé de m’y prendre autrement.
J’ai utilisé mon expérience de formateur et mon recul sur l’apprentissage par la pratique pour trouver une méthode que j’ai testé sur moi-même et sur quelques amis et qui a tout de suite fonctionné.
Pour vous donner quelques chiffres clés, voici les résultats sur mes fautes d’orthographe avec la méthode que j’ai créée.
Imaginez un instant vous libérer de ce fardeau.
QUELQUES MOTS SUR MES CONVICTIONS…
Je termine en me livrant un peu plus sur mes convictions, mes valeurs et pourquoi j’ai créé ce blog.
Lorsque j’ai découvert, enfin, une approche qui fonctionnait et qui me permettait d’améliorer continuellement et durablement mes fautes d’orthographe, je me suis dit que je ne devais pas être le seul à vouloir améliorer mon orthographe et mes écrits. J’imagine même que nous sommes très nombreux dans cette situation.
Je n’aurais jamais imaginé créer un blog sur comment faire moins de fautes d’orthographe, car je ne me sentais pas légitime, faisant moi-même des fautes.
Mais je me suis aperçu que je pouvais apporter de la valeur non pas en proposant une liste exhaustive d’articles qui référencent les règles d’orthographe, mais grâce une méthode redoutable qui vous apprend à faire moins de fautes d’orthographe et à améliorer vos écrits durablement de manière complètement personnalisée.
Une méthode qui s’adapte à vous et vous accompagne durablement.
L’objectif de ce blog est de vous guider pas à pas vers le succès au travers de cette méthode.
Le tout n’est pas de dire que tel mot s’écrit comme cela ou comme cela, mais de vous montrer comment mémoriser à vie que ce mot s’écrit avec telle orthographe.
On parle beaucoup des méthodes d’apprentissage à l’école depuis maintenant quelques années et on commence seulement à s’appuyer sur des recherches de personnes qui ont dédié leur vie à cela, je pense notamment à Maria Montessori, le docteur Fresnel et bien d’autres…
Ces pédagogies sont très intéressantes, car elles se basent sur le fonctionnement de l’enfant.
C’est la pédagogie qui s’adapte à la personne et pas l’inverse.
Je suis particulièrement sensible à ces approches alternatives, car je suis convaincu que si j’en avais bénéficié, j’aurais progressé beaucoup plus vite.
C’est pourquoi je crois qu’en vous basant sur le fonctionnement de notre cerveau, de notre mémoire, en vous adaptant aussi à notre mode de vie, toujours plus rythmé, et en y apportant du fun et un accompagnement personnalisé vous serez en mesure de supprimer le handicap des fautes d’orthograpge.
Je m’y engage !